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Musique Bretonne et Musique Celtique de Bretagne. Les artistes Bretons des musiques celtes, celtiques, bretonnes. Denez Prigent, Alan Stivell, Dan Ar Braz, Tri Yann, Soldat Louis, Kemener, Marchand, Guichen, Gilles Servat, gwendal, rasta bigoud, bagad lann bihoue, bagad kemper, cecile corbel, wig a wag, dom duff, carre manchot, musique bretonne, musique celtique, musique en bretagne, musique de bretagne, gwerz, gargouilles, kern, pevar den, jacques pellen, annie ebrel, marthe vassallo, red cardell. Decouvrez l'armorique, l'univers musicale breton grace a celtic'sons et jeremie Pierre JOUAN.
TelechargementLe téléchargement de musiqueHistoire du téléchargement de musiqueLe téléchargement de musiques s’est très vite imposé sur le réseau internet. En France, dès l’arrivée de ce nouvel outil de communication, le téléchargement prenait toute sa place. Sur des systèmes d’échange en peer to peer, d’ordinateur à ordinateur, les premières communautés sont apparues dès 1995. Ce système, s’il pouvait théoriquement être rapide, restait très limité, car les connections Internet ne dépassaient que très rarement les 32kbps. L’arrivée de lignes haut débits a permis dès les années 2000 au téléchargement de s’imposer en France. Le nombre de connexions sur certaines plateformes dépassait le million. Ce téléchargement ne respectait pas les droits des artistes et producteurs, tout en permettant à la création artistique de se diffuser. Le choix restait toujours limité. Les premières expériences de téléchargement légal de musique eurent lieu, mais le fait de devoir payer, surprenant des internautes habitués à la gratuité et à la liberté du réseau Internet, ne fut pas particulièrement accueillit, et ces plateformes de téléchargement légal fermèrent rapidement. A partir de 2003, l’industrie du disque touchée par d’importantes
baisses de ses ventes, prit les devants et assigna en justice de nombreux internautes.
Le peer to peer connu une baisse significative de ces connexions
durant quelques semaines. Certaines plateformes furent également
poursuivies. Mais l’offre légale tardait à se mettre en ligne,
notamment devant la frilosité de nombreuses maisons de disques.
Aujourd’hui encore, les plateformes comme Jamlabel,
qui propose du téléchargement légal de musique
ne peuvent présenter tous les artistes, devant de refus de nombreuses maisons
de proposer leur catalogue légalement, plutôt
que de le laisser aux « pirates » (dénomination d’internautes
téléchargeant illégalement, selon la terminologie officielle).
Jeremie Pierre JOUAN |